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William : the Happyness is here [fini]

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Message  William K. Blowing Ven 1 Mai - 16:40

    Nom: Blowing
    Prénom: William, Kazumi
    Âge: 18 ans

    Activités choisies: Tir à l’arc en priorité, des sports co. En tout genre.
    Caractère: Le sourire aux lèvres constamment, William est un adolescent qui n’a pas voulu grandir et qui a su garder son innocence et sa naïveté enfantine, parce qu’il fait la politique de l’autruche sans doute. C’est un boute-en-train, peu de choses sont capable de lui faire perdre sa bonne humeur et son humour parfois lourd et inadapté. Parce que c’est la seule manière qu’il connaisse pour détendre l’atmosphère faut comprendre. Trop affectueux, il est le pro des coups de foudre et des relations qui se terminent mal. Capable de se donner entièrement à la personne qu’il aime, il est souvent blessé. Il donne beaucoup sans attendre en échange, trop généreux et trop sensible. On peut compter sur lui malgré sa lâcheté ; parce que Will aime fuir les problèmes et ses peurs plus que de les affronter. Il pardonne trop facilement et même si on peut le prendre pour un allumé, il est plutôt serein et posé, bien dans sa tête et dans son corps.
    Un peu rêveur, il n’est pas rare de le voir la tête dans les nuages. Trop poli, il s’excusera mille fois avant d’enfin comprendre qu’il est déjà pardonné ; même s’il est collant et trop expressif, c’est un être attachant qui à besoin d’affection. On le compare souvent à un chien car il est un peu comme eux : affectueux, fidèle et acceptant tout de celui qu’il prendra pour son maitre.
    Il est très maladroit aussi, capable de se faire lui-même des croches pattes et contrairement à ce que l'on pourrait croire il à un grand sens du devoir et il est très débrouillard, capable de s'entretenir seul. Il possède un fort instinct de survie.
    Ah et puis, pas la peine de vous énerver si vous avez l'impression qu'il n'écoute pas et qu'il répond à côté de la plaque : c'est juste qu'il est lunaire et qu'il aime passer du coq à l'âne x3
    Physique: Retenons déjà que William n’a jamais la même coupe de cheveux, il en change régulièrement et dépense une fortune en coiffeur ; il prend très soin de sa chevelure d’ébène car elle est pour lui aussi précieuse que ses amants. Il possède des traits asiatiques bien que ces racines soient assez lointaines et que ces parents ne soient pas du tout typés. Plus petit on le prenait souvent pour une fille et ses camarades s’amusaient à le tyranniser et à l’habiller de robes de princesses pour se moquer de lui, parce que son visage est fin et délicat et que les lignes de sa mâchoire suivent la même doctrine ; tout chez lui respire la féminité ! Surtout lorsque ses cheveux sont longs. Mais bon, il n’a pas l’air de s’en plaindre, il s’aime comme il est. Des lèvres roses et fines, dignes d’un éphèbe, un petit nez légèrement aquilin et de magnifiques iris claires comme du cristal, entre le gris et le bleu achèvent le portrait déjà féminin.
    Imberbe, le torse de William possède des formes délicates et il est finement musclé ; on lui demande souvent pourquoi il est couvert de cicatrices. C’est vrai, il y en a partout, des marques légères et à peines visibles et qu’il ne cache pas particulièrement… Et à la fin de chacune de ses relations, il y en a quelques unes de plus.
    Et il ne cherche pas vraiment à donner d'autres explications.
    On remarquera tout de suite que William à l'air malade constamment : le teint pâle à la limite du cadavérique, et des joues toujours rouges. D'ailleurs il est très facile de le faire rougir U_u... Sa peau d'albâtre, douce et délicate, marque très facilement et comme il se cogne toujours partout, on pourrait croire qu'il est sans cesse battu, mais ce n'est pas du tout le cas.
    Il n'est pas très grand, dans la moyenne frôlant le mètre soixante-dix et vraiment pas gros du tout, ne pesant que cinquante et quelques kilos...

    Histoire: « 1 - Walk like a man »
    La pluie tombait sur l’asphalte avec violence ; au loin, une voiture klaxonna et des phares illuminèrent sa chambre d’enfant un cours instant. Plus tard, le tonnerre gronda et le bambin se recroquevilla sous ses couvertures. Son plafond « Travel in the space » laissait les étoiles et les planètes fluorescentes tenter de le rassurer, en vain.
    Un éclair zébra le ciel sombre, en-dehors de la ville mais il ne le vie pas ; la couette informe tremblotait et il essayait de ne pas pleurer. Mais n’était-ce pas difficile pour un enfant de quatre ans que de lutter seul contre ses démons et les ombres de monstres divers ? Mais William avait la chance de posséder une armée de peluches, rangées au garde-à-vous un peu partout dans sa chambre et prête à le défendre contre vents et marées !
    N’est-ce pas magnifique, l’imagination lorsque l’on est encore un enfant ? Sans s’en rendre compte, il avait sombré dans un profond sommeil où ces mêmes fidèles chevalier accomplissaient pour lui une mission de la plus haute importance : récupérer le prince du pays voisin, prisonnier d’une vilaine sorcière !
    Parce que depuis son plus jeune âge, William était attiré par les garçons ; il rêvait de faire une bise à son copain louis, ou de tenir la main du petit olivier de la classe du dessus. Mais il ne comprenait pas encore l’importance de la chose, pour lui, c’était banal, normal quoi. Et bien sûr il n’en parlait pas.
    Le petit garçon avait la chance d’avoir deux parents l’aimant plus que de raison et le chouchoutant énormément ; malgré un prénom et un nom à consonance anglaise, « billy » comme l’appelait sa mère, était bien français : il était né, avait grandit et vivait toujours en France. Mais son sang était un mélange d’un peu partout car sa mère était française aux lointaines origines italiennes et asiatiques et son père était un mélange d’anglais, d’allemand, et d’autres origines plus nordiques ; ainsi on ne savait pas vraiment ce que le petit était. En tout cas, il était typé asiatique, ce qui ne déplaisait pas forcément à sa mère puisqu’elle possédait un amour fort pour cette partie du monde et son père l’aimait comme il était.
    Pourtant, les plus grands de la primaire s’amusaient souvent à le prendre dans les toilettes et à le forcer à s’habiller en fille dans le dos des profs qui ne surveillaient pas cette partie de l’école ; ainsi il n’était pas rare que sa maitresse le retrouve affublé d’un costume de cendrillon, pleurant à chaudes larmes dans les WC parce que les garnements avaient pensé à aller cacher ses vêtements ailleurs.
    Oui, il fut tyranniser assez jeune mais cela n’entacha jamais sa joie de vivre et la gaité qu’il éprouvait chaque jour d’aller à l’école ; après tout, ce n’était qu’un court moment de ses journées, donc, il pouvait bien le supporter. Et puis, souvent, il se mettait au défis de ne pas pleurer et de retourner en classe, ainsi affublé.
    Et le petit garçon continua de grandir, sans jamais se rebeller, poursuivant sa scolarité ainsi bien que ses parents et ses professeurs aient tentés de faire bouger les choses, ça ne faisait qu’empirer en général


    « 2 - Ce n'est rien juste qu'une petite mort »

    Le temps d’aller au collège était venu ; William avait achevé sa primaire avec des notes dans la moyenne, sans plus de problèmes, dans le même milieu que depuis son enfance. Jamais, sans doute, il ne pourrait comprendre pourquoi il était le souffre-douleur des autres, peu importe les institutions. Parce que sa mère avait réagi et l’avait changé d’école trois fois. Mais rien n’y faisait, il était toujours pris en grippe par un groupe ou même par un seul autre de ses camarades ; et sa mère souffraient alors que William acceptait son destin avec une facilité déconcertante, souriant à la vie comme à ses pseudos-amis. Il n’avait pas de problèmes d’adaptation et son arrivée au collège passa comme une lettre à la poste ; sauf qu’un collège regroupe plusieurs primaires et il retrouva d’ancien camarade, des sympas et amicaux et d’autres bien moins.
    En ce temps là, William avait trouvé un ami, un vrai qui était toujours là pour le défendre ; Bastien était tout le contraire de lui, il était grand, il était fort et il n’avait pas froid aux yeux. Il ne se laissait pas marcher sur les pieds et il tenait tête même aux plus grands. Will l’aimait beaucoup et il ne cessait de parler de lui à ces parents comme d’un super héros qui venaient en aide aux plus faibles…
    Et le temps passa, leurs liens se renforçant lentement, le l’idolâtrie se transformant en amour pur et dur et pourtant le jeune français ne parla jamais de ses sentiments à quiconque, il les cacha, parce qu’il avait commencé à prendre conscience que dans le monde qui l’entourait, on ne voyait jamais deux garçons se tenir la main ou deux garçons se faire un câlin ; du moins pas dans le monde où on le forçait à vivre. Car dans ses rêves, dans son monde imaginaire juste à lui, c’était légion… Mais voilà, la réalité n’avait rien à voir avec l’imaginaire.
    Alors William se taisait et William vivait la vivait la vie qu’on avait dicté pour lui, que le destin lui avait offerte.
    Au milieu de sa cinquième, il se produisit quelque chose de nouveau pour l’enfant à l’allure féminine : il se fit coller pour la première fois. Bon, tant pis, même s’il ne comprenait pas, une heure de plus ou de moins ne lui changeait rien.
    Ainsi, il avait une heure de colle avec son professeur de sport, un jeune qui commençait après avoir fini ses études, remplaçant d’un retraité. Et Will, alla naïvement au gymnase ce jour là, après les cours, alors qu’il n’y avait plus un chat ; lorsqu’il arriva dans le vestiaire et qu’il trouva la porte de la douche entrouverte et la pièce allumée sans personne dedans, il pensa à un oublie et il s’approcha pour éteindre et refermer la porte. Mais à peine avait-il passé le seuil qu’on le poussait à l’intérieur et que le loquet se verrouillait ; se retournant, l’adolescent remarqua son prof de sport qui lui souriait.
    Ce qu’il se passa ensuite, alla trop vite pour que les souvenirs ne soient pas flous dans son esprit ; tout ce que William retint de ce jour c’est qu’il y avait bien d’autres moyens de le tyranniser. Car avant d’avoir compris quoi que ce soit à sa pauvre existence, il devint le jouet sexuel de ce prof pervers et pédophile.
    Et cela dura plusieurs mois, parce que Will ne savait pas dire non et parce qu’on lui avait appris à ne pas défier l’autorité des enseignants. Alors si le professeur s’enfermait avec lui dans une salle vide et déboutonnait son pantalon en lui ordonnant de lui tailler une pipe, l’adolescent obéissait. Et même s’il en souffrait, il se taisait. Ce qui était parfait pour le prof de sport, après tout, que pouvait-il avoir à craindre d’un élève soumis et muet ?!
    Mais il commit l’erreur fatale d’essayer avec d’autres élèves, qui eux, se plaignirent et il fut renvoyer du collège, avant d’être jugé ; ses victimes passèrent chez le psychologue mais William y échappa parce que personne ne savait ce qu’il lui était arrivé, lorsqu’on lui avait demandé si Monsieur Clément l’avait touché, il avait nié en assurant que c’était un excellent professeur. Parce que c’était le cas et qu’il ne voulait pas entacher sa réputation déjà bien mise à mal, ne comprenant pas vraiment la réelle gravité des choses.
    Et sa scolarité continua, tranquillement jusqu’à l’arrivé d’autres incidents.


    « 3 - you just made a big mistake. »

    Son père avait été muté et ils avaient dû déménage. De sa petite vie “tranquille” dans les environs de Marseilles, il découvrait l’est de la France, tout prêt de Lyon, de nouveaux horizons, un nouveau collège, de nouveaux camarades, bref, il ne connaissait rien ni personne. De plus, il avait un fort accent du sud ce qui n’arrangea pas les moqueries à son sujet, déjà pour ses cheveux long et son visage de fille.
    Et à croire qu’il y avait écrit « souffre douleur » et « jouet sexuel de prof » sur son front, la lente monotonie des jours revint. Sauf que cette fois-ci, c’était différemment ; parce que rapidement, il y eut quelqu’un pour l’aimer comme lui, il aimait les autres : Thomas. A la fin de sa quatrième il lui demanda en lui promettant que leur relation resterait secrète pour qu’il n’ait pas plus de problèmes avec les autres. Parce qu’ils étaient bêtes et méchants.
    Et William accepta avec joie et les vacances d’été arrivèrent trop vite. Ce furent de magnifiques vacances, pleines de joies et où il y eut quelqu’un pour s’occuper de lui et en prendre soin. Mais elles aussi passèrent vite et il fallut reprendre le collège et les habitudes dures et monotones. Certains professeurs étaient partis, d’autres étaient arrivés et cette année là, il y eut de nouveau un prof mal intentionné à son égard : son professeur de français.
    Oui, William devait être maudit, il n’empêcha que son calvaire de cinquième recommença mais cette fois, son professeur n’hésita pas à le marquer partout malgré son refus ; il se sentait mal vis-à-vis de Thomas et son cœur blessé saignait dans sa poitrine ; mais comme à sa mauvaise habitude il se laissa faire… Et tout recommença comme avant.
    Néanmoins, il fallut bien que les choses soient de plus en plus sérieuses avec son amant puisqu’ils s’aimaient beaucoup et un soir d’anniversaire bien arrosé où Thomas s’était retrouvé seul chez lui, il voulut passer aux choses sérieuses avec William, persuadé d’être le premier qui toucherait son corps délicat. Sauf que, lorsqu’il retira le t-shirt de celui qu’il aimait, il fut déçu et dégouté du nombre de marques rependues sur son torse. Et sans plus chercher d’explication, il accusa Will de jouer double jeu et il le plaqua sans douceur, le mettant à la porte en lui jetant son t-shirt à la figure.
    L’adolescent brun ne se souvient pas avoir pleuré autant dans sa vie que ce jour là ; il était en larme quand il rentra chez lui, torse nu, tremblant et fiévreux et il passa la nuit dans le même état avant que sa mère ne vienne le réveiller et ne le découvre ainsi.
    Elle voulut des explications, mais rien ne ressorti : Will restait muet sur son mal-être, comme d’habitude.
    Ce fut à ce moment là qu’on l’emmena chez un psychologue et que celui-ci pu expliquer à ses parents les pourquoi du comment. Sa mère s’insurgea et pris rendez-vous avec le principal du collège mais il couvrit le vieil enseignant qui n’était là que pour quelques mois encore et elle colla un procès au professeur, changeant son fils de collège en lui faisant promettre que ça ne devait plus arriver.
    William promit mais il eu quand même droit à des visites régulières chez le psy, parce que sa mère avait peur pour lui ; surtout qu’elle ne savait pas vraiment si elle était capable d’assumer la sexualité de son fils.
    Et sa vie continua son train-train, bien que différente.


Dernière édition par William K. Blowing le Sam 2 Mai - 15:40, édité 2 fois
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Message  William K. Blowing Sam 2 Mai - 15:39

    « 4 – Embrasse-moi ou quitte-moi mais ne me laisse pas. »

    William avait grandit, William était en première à présent, en première littéraire car il voulait se diriger dans vers une fac d’art.
    Le lycée était grand et sympa, il n’y avait plus personne pour le tyranniser même s’il était resté le même et il menait une relation platonique qui lui allait avec un garçon timide possédant un cœur généreux, lui ressemblant un peu mais en plus grand et aux courbes plus douces.
    A cette époque là, il arborait les cheveux longs, qu’il attachait en queue de cheval, parce qu’il aimait passer sa main dedans. Ses sentiments étaient très forts pour son vis-à-vis ainsi quand il lui annonça qu’il le quittait, Will eut mal, très mal mais il le laissa partir ; parce qu’il aurait été égoïste de le retenir, faut comprendre son point de vue !
    Et sans s’en rendre compte il commença une lente et longue période de déprime ; il ne comprenait pas pourquoi il n’arrivait pas à garder auprès de lui ceux qui lui volait son cœur ! Pourtant, il cédait à tout, s’acclimatait comme il le pouvait, cédait à toutes leurs envies et à tous leurs caprices sans jamais se plaindre, il était toujours souriant, toujours agréable même quand l’envie n’y était pas.
    Car ce n’était pas la première fois que l’adolescent se faisait jeter de la sorte. Et il ne comprenait pas où il commettait des erreurs et lorsqu’il demandait pourquoi, on lui répliquait simplement « parce que je me suis lassé de toi ». Il était lassant ? Mais pourtant il avait l’impression d’être toujours pleins de bonnes surprises !
    Et ses notes commencèrent à chuter, petit à petit.
    Et ses sourires se firent un peu plus forcés chaque jour.
    Et son rire fut moins naturel.
    Et ses yeux furent plus tristes.
    Et sa mère décida qu’il était grand temps de changer tout ça !
    Il était bien assez grand pour se débrouiller aussi l’inscrit-elle dans une colonie sans savoir ce qui allait réellement arriver à son fils.
    Ainsi l’année de seconde de William s’acheva et il fit ses bagages pour partir sur cette petite île où il était censé se changer les idées et se faire de nouveaux amis. Bien, de toute manière, au point où il en était, ça ou autre chose, c’était du pareil au même.
    Et William partit.
    Pour l’Enfer ou le Paradis ?
    Il le saurait bien assez tôt…

    Matériels: sa collection de boxer (il y a de tout et de rien, au moins 50 sous-vêtements même s'il n'était censé partir que 2 semaines...), un kit de correspondance, un kit de survie, ses peluches préférées, son portefeuille, deux ou trois pantalons, un short, 2 pantacourts, une dizaine de t-shirt, sa trousse de toilette, deux serviettes de toilette, son téléphone portable, son itune, son couteau suisse, un régime de bananes, quelques boites de biscuits bio, une petite bouteille d'eau, des cordes, un maillot de bain, une trentaine de livres, de CD et un baladeur CD, son PC Portable, une boite de capotes infinity fluo parce qu’il faut toujours sortir couvert ! éè.

    Vous
    Pseudo: Fehla x3
    Âge: 17 bougies
    Fréquentation: je dirai 3 ou 4 en temps normal.
    Nombre de ligne en moyennes: Oo… Chè pas, c’est aléatoire. Entre 15 et 20 je dirai. Mais bon, je peux en faire 7 justes comme je peux faire un post de 40 --‘
    Code: Ok by Ra'
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Message  Raphael A. Dim 3 Mai - 15:55

Validée, amuse-toi bien ♥️
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